Des Enfants à Beyrouth ont besoin de vous

Pourquoi les aider?

La Situation au Liban

Les ruines de Beyrouth font les images des télés, mais elles cachent la réalité de la situation ou du dénuement des enfants, notamment de Nabaa quartier historiquement pauvre de Beyrouth

Critères de sélection des familles et enfants

  • Pour bénéficier de ces services, une famille doit répondre à plusieurs critères stricts (famille libanaise ayant au minimum deux enfants scolarisés, habitant la région de Nabaa – Bourj-Hammoud, situation d’extrême besoin, volontarisme, etc.).
  • La plupart de ces familles se retrouvent sans ressource, ou bien avec un salaire partiel, dans un logement le plus souvent insalubre (1 pièce + cuisine pour 4 à 5 personnes), situé dans les caves ou sur les terrasses d’immeubles. Un loyer mensuel équivaut à 300/400$, par rapport à un salaire minimum mensuel officiel de 450$. Elles n’ont pas de sécurité sociale et ne peuvent que difficilement bénéficier des services de santé payants. Les frais de scolarité (inscription + fournitures) sont exorbitants par rapport à leurs moyens.

Le soutien familial et l’aide à la scolarisation

Les parrainages individuels entrent, pour LIBAMI, dans le cadre du soutien familial. A ce jour, plus de 376 familles sont soutenues par LIBAMI Beyrouth. 520 enfants ont été scolarisés pour l’année 2019/2020 : 397 enfants sont parrainés dont 119 par LIBAMI Cholet.

Les autres sources de parrainages étant (50%) les A.E.M, des parrains libanais, ou d’autres pays.

Le parrainage est individualisé, mais c’est l’ensemble de la fratrie qui en bénéficie. Les assistantes sociales suivent ces familles, avec au minimum 1 visite par mois à domicile. Chaque mois, les mères de famille viennent à LIBAMI toucher leur aide financière, voire un complément financier ou matériel. Elles présentent alors les justificatifs des dépenses engagées (scolarité, médicaments, etc.).

LIBAMI a su faire fonctionner parfaitement cette notion de « parrainage individuel ». La relation enfant / parrain est très forte, fréquente et parfaitement bien suivie en France comme au Liban.

La Scolarité

  • Aucune école n’est gratuite au Liban, et les coûts de la scolarité sont démesurés par rapport aux revenus des familles de ce quartier.
  • Chaque année, LIBAMI accorde des aides scolaires à certaines familles, pour les aider à prendre en charge, même partiellement, les frais d’inscription et de fournitures scolaires.
  • De la même manière, les familles sont suivies par les assistantes sociales, qui négocient également, avec les écoles, les frais de scolarisation afin de bénéficier de « tarif de groupe ».
  • Sans ce minimum d’aide, on peut considérer que tous ces enfants seraient dans la rue, au lieu d’aller à l’école.
  • Pour cela, cette action ponctuelle est d’une redoutable efficience et efficacité.

Le Soutien Scolaire

Créé en 1997, ce soutien scolaire a pour but d’aider les enfants en grande difficulté dans les écoles publiques, ou bien dans l’incapacité d’étudier chez eux, étant donné leurs conditions de vie (promiscuité, bruit, insalubrité, absence de mobilier, etc.).

70 enfants ont bénéficié de cette action en 2016/2017 et autant sont inscrits pour l’ année scolaire 2017/2018.

Tous font déjà partie des actions décrites ci-dessus.

Ils sont répartis par groupe de 4 ou 5, sous la responsabilité d’un étudiant salarié à temps partiel. LIBAMI cherche à recruter une personne compétente pour encadrer ce groupe d’étudiants et gérer cette activité.

Ces cours ont lieu l’après-midi. Un repas est maintenant servi à ces enfants,  4 jours par semaine.

L'Accompagnement vers l'Université

Cette action a été créée à la demande d’un mécène, qui souhaitait financer ce genre d’action, et qui a demandé à LIBAMI de la gérer.

De nombreux étudiants du quartier abandonnaient leurs études en raison de l’éloignement des universités, l’impossibilité de se loger ailleurs et du coût des transports publics.

Elle a concerné 236 étudiants en 2016/2017 et 265 pour l’année 2017/2018.

Mais cette activité occupe un ½ temps d’une assistante sociale, et pose aujourd’hui un sérieux problème de gestion des ressources humaines.

Le Club des Jeunes

Cette action a pour objectif d’accueillir des enfants et adolescents dépourvus de tout loisir et de leur offrir des activités éducatives et récréatives encadrées.

Leurs conditions de vie ne leur permettraient de n’avoir comme loisirs que « la rue ».

45 enfants de  6-9 ans, 15 adolescents entre 11 et 14 ans et 20 adolescentes entre 12 et 15 ans ont suivi cette action durant l’année scolaire (samedi matin).

En été 2018, un centre d’accueil et de loisirs (de jour) a fonctionné en Juillet. Il a accueilli une centaine d’enfants dans une villa à Damour (30 km au Sud de Beyrouth).

Certains enfants ne sont jamais sortis de leur quartier, ou n’ont jamais vu la mer (à 2 Km de là) ni la montagne !

Si cette action peut paraître « secondaire d’un point de vue éthique et besoin », elle dépasse en demande, chaque année, toutes les prévisions de LIBAMI. Elle permet surtout aux enfants de sortir de leur ghetto, de casser la mono image de leur quartier et de créer des liens intercommunautaires, autres que ceux de la rue.

La Situation au Liban

Les ruines de Beyrouth font les images des télés, mais elles cachent la réalité de la situation ou du dénuement des enfants, notamment de Nabaa quartier historiquement pauvre de Beyrouth

Critères de Sélection des Familles et des Enfants

texte à revoir

le Soutien Familial et l'Aide à la Scolarisation

Les parrainages individuels entrent, pour LIBAMI, dans le cadre du soutien familial. A ce jour, plus de 376 familles sont soutenues par LIBAMI Beyrouth. 520 enfants ont été scolarisés pour l’année 2019/2020 : 397 enfants sont parrainés dont 119 par LIBAMI Cholet.

Les autres sources de parrainages étant (50%) les A.E.M, des parrains libanais, ou d’autres pays.

Le parrainage est individualisé, mais c’est l’ensemble de la fratrie qui en bénéficie. Les assistantes sociales suivent ces familles, avec au minimum 1 visite par mois à domicile. Chaque mois, les mères de famille viennent à LIBAMI toucher leur aide financière, voire un complément financier ou matériel. Elles présentent alors les justificatifs des dépenses engagées (scolarité, médicaments, etc.).

LIBAMI a su faire fonctionner parfaitement cette notion de « parrainage individuel ». La relation enfant / parrain est très forte, fréquente et parfaitement bien suivie en France comme au Liban.

La Scolarité

  • Aucune école n’est gratuite au Liban, et les coûts de la scolarité sont démesurés par rapport aux revenus des familles de ce quartier.
  • Chaque année, LIBAMI accorde des aides scolaires à certaines familles, pour les aider à prendre en charge, même partiellement, les frais d’inscription et de fournitures scolaires.
  • De la même manière, les familles sont suivies par les assistantes sociales, qui négocient également, avec les écoles, les frais de scolarisation afin de bénéficier de « tarif de groupe ».
  • Sans ce minimum d’aide, on peut considérer que tous ces enfants seraient dans la rue, au lieu d’aller à l’école.
  • Pour cela, cette action ponctuelle est d’une redoutable efficience et efficacité

Le Soutien Scolaire

Créé en 1997, ce soutien scolaire a pour but d’aider les enfants en grande difficulté dans les écoles publiques, ou bien dans l’incapacité d’étudier chez eux, étant donné leurs conditions de vie (promiscuité, bruit, insalubrité, absence de mobilier, etc.).

70 enfants ont bénéficié de cette action en 2016/2017 et autant sont inscrits pour l’ année scolaire 2017/2018.

Tous font déjà partie des actions décrites ci-dessus.

Ils sont répartis par groupe de 4 ou 5, sous la responsabilité d’un étudiant salarié à temps partiel. LIBAMI cherche à recruter une personne compétente pour encadrer ce groupe d’étudiants et gérer cette activité.

Ces cours ont lieu l’après-midi. Un repas est maintenant servi à ces enfants,  4 jours par semaine.

L'Accompagnement vers l'Université

Cette action a été créée à la demande d’un mécène, qui souhaitait financer ce genre d’action, et qui a demandé à LIBAMI de la gérer.

De nombreux étudiants du quartier abandonnaient leurs études en raison de l’éloignement des universités, l’impossibilité de se loger ailleurs et du coût des transports publics.

Elle a concerné 236 étudiants en 2016/2017 et 265 pour l’année 2017/2018.

Mais cette activité occupe un ½ temps d’une assistante sociale, et pose aujourd’hui un sérieux problème de gestion des ressources humaines.

Le Club des Jeunes

Cette action a pour objectif d’accueillir des enfants et adolescents dépourvus de tout loisir et de leur offrir des activités éducatives et récréatives encadrées.

Leurs conditions de vie ne leur permettraient de n’avoir comme loisirs que « la rue ».

45 enfants de  6-9 ans, 15 adolescents entre 11 et 14 ans et 20 adolescentes entre 12 et 15 ans ont suivi cette action durant l’année scolaire (samedi matin).

En été 2018, un centre d’accueil et de loisirs (de jour) a fonctionné en Juillet. Il a accueilli une centaine d’enfants dans une villa à Damour (30 km au Sud de Beyrouth).

Certains enfants ne sont jamais sortis de leur quartier, ou n’ont jamais vu la mer (à 2 Km de là) ni la montagne !

Si cette action peut paraître « secondaire d’un point de vue éthique et besoin », elle dépasse en demande, chaque année, toutes les prévisions de LIBAMI. Elle permet surtout aux enfants de sortir de leur ghetto, de casser la mono image de leur quartier et de créer des liens intercommunautaires, autres que ceux de la rue.

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